Description du livre
  
                           
                          
              
                               5870. Depuis le Grand Bond scientifique, les hommes sont immortels. Transplanter son cerveau dans un corps neuf est monnaie courante. Les corps neufs sont ceux des « korgs », des êtres humains déshumanisés, élevés spécialement dans des « korgariums ». Certains humains, qui regrettent le temps de la vérité où les gens mouraient de leur belle mort, s’insurgent contre ces élevages, se regroupent et deviennent gênants pour la bonne marche de la société… Avec Je ne me lasse pas de vivre, Jaroslav Melnik livre une dystopie profonde sur les dangers de l’intelligence artificielle, les dérives de la science et le devenir de l’individu : Suis-je encore moi dans un corps qui n’est pas le mien ? Suis-je encore un être humain ?